Storia delle classi subalterne. La Bohème. Carlo Baudelaire § (127)
Cfr C. Baudelaire, Les Fleurs di Mal et autres poèmes, Texte intégral précédé d’une étude inedite d’Henri de Régnier [(«La Renaissance du Livre», Parid s.d.)]. Nello studio del de Régnier (a pp. 14-15, a contare dalla pagina stampata, perché nel testo [della prefazione] non c’è numerazione) si ricorda che il Baudelaire partecipò [attivamente] ai fatti del febbraio e del giudno 1848. «Fait *trange de contagion révolutionnaire, dans cette cervelle si méticuleusement lucide», scrive il de Régnier. Il Baudelaire, con Chapfleury, fondò un giornale repubblicano in cui scrisse articoli violenti. Diresse poi un giornale locale a Châteauroux. «Cette double chamapgne typographique (sic) et la part qu’il prit au mouvement populaire suffirent, il faut le dire, à guérir ce qu’il appela plus tard sa “folie” et que, dans Mon cœur mis à nu, il cherche à s’expliquer à lui-même quand il écrit: “Mon ivresse de 1848. De quelle nature était cette ivresse? Goût de la vengeange, plaisir naturel de la démolition. Ivresse littéraire. Souvenirs de lectures”. Crise bizarre qui transforma cet aristocrate d’idées et de goûts qu’était foncièrement Baudelaire en un énergumène que nous décrit dans ses notes son camarade Le Valvasseur et dont les mains “sentaient la poudre”, proclamant “l’apothéose del la banqueroute sociale”; crise bizarre d’où il rapporta une horreur sincère de la démocratie mais qui était peut-être aussi un premier avertissement physiologique» ecc. [è un primo sintomo della nevrastenia del Baudelaire] (ma perché non il contrario? cioè perché la malattia del Baudelaire non avrebbe invece determinato il suo distacco dal movimento popolare? ecc.).
In ogni caso vedere se questi scritti politici del Baudelaire sono stati studiati e raccolti.